Mission de Dieu en ma messagère Lucie:

Je suis à la maison.   Le Seigneur me dit d’écrire ce qui suit, avec exactitude et dévotion, pour l’Église de Dieu particulièrement pour le Québec, notre province.

««« Savez-vous pourquoi, moi, votre Dieu Je Suis en mon Fils Ressuscité Vivant en mon Église?  

C’est parce que J’aime mes enfants à la folie, dans la grandeur de mon Amour Infini et ma Miséricorde.

Et comment Je partage ce grand Amour, le savez-vous? 

C’est par l’Eucharistie, feu ardent de ma Présence infinie de Divinité.   Je Suis la nourriture Vivante de votre âme, de votre esprit, dans votre corps qui devient Temple de l’Esprit Saint.   C’est moi, le Ressuscité, qui veut prendre toute la place entière dans votre humanité blessée,  recouverte du péché pour vous délivrer de toutes traces de mal en vous purifiant tout entier dans votre être.  Je Suis le tout qui veut vivre en intimité profonde dans votre corps, coeur, âme, esprit et conscience et jamais plus être repoussé, ignoré, mal-aimé, inconnu de votre humanité dans mon Église.  Laissez-Moi vivre en vous, respirer en vous, tout accomplir en vous, en chacun de vous, selon Mes Volontés et Je construirai mon Église en l’ÉDIFIANT dans les profondeurs de ma Divinité Infinie.

Est-ce que mes enfants ont saisi, compris mes Paroles d’Évangile? 

Certain oui, trop peu hélas les mettent en pratique.

Est-ce-que l’on a compris la Puissance de l’Esprit Saint en le coeur de mes enfants remplis de ma Sainte Présence, au coeur enflammé de Paroles de ma Sagesse, de Vérité et d’Amour?  

 Hélas!   Que très peu en mon Église.

Est-ce-que l’on a compris ma Parole d’Évangile qui dit?

«N’éteignez pas l’Esprit» dans mon Église.  Hélas!   Que très peu.

Est-ce que l’on a accueilli l’Esprit Saint dans mon Église avec joie, reconnaissance, amour et grand respect?

Hélas!   Que trop peu.

Est-ce qu’on m’aime Moi, le Ressuscité, comme Je Suis Vivant en l’Eucharistie avec l’ardeur d’amour dont Je mérite?

Hélas!   Que trop peu d’âmes me désirent ardemment.

Es-ce que l’on se rejouit,  en mon Église, que mes Paroles Vivante brûlent des coeurs enflammés d’amour pour Moi?

Hélas!   Que si rarement.

Alors, dites-Moi à quoi cela me sert d’être autant Vivant, au milieu de mon Église, si Je dois me taire pour ne pas vous déplaire dans vos projets d’évangélisation dans mes paroisses et ailleurs?

On a peur de Moi le Ressuscité Vivant et plein de Vérité, en vos soeurs et frères porteurs d’espérance!

 JE SUIS, NE LE SAVIEZ-VOUS PAS,  L’ÉDIFICATION SANS PAREILLE POUR L’ÉGLISE ENTIÈRE DU MONDE???

 DITES-MOI, À QUOI SERVENT MES PAROLES D’ÉVANGILE QUI NE PORTENT PAS LES FRUITS DE MON ESPRIT SAINT?

 

Taire mon Esprit Saint en vous, c’est museler le VIVANT JÉSUS-CHRIST, votre Ressuscité, c’est cela la VÉRITÉ QU’ON APPRÉCIE GUÈRE DANS MON ÉGLISE.   PEU D’ENTRE-VOUS APPRÉCIENT MA VÉRITÉ CAR ELLE EST SURPRENANTE, DÉRANGEANTE ET SAISISSANTE.

Mon Église se meurt dans l’ennuie, elle se meurt parce que mon Esprit Saint se meurt à grand feu en vous, dans mon Église et les paroisses se vident encore.  Mais qui m’accueille avec tout son amour, en lui J’ai allumé le feu d’un énorme brasier qui ne s’éteindra jamais; c’est ce que J’ai fait en mes messagers et messagères en votre temps actuel.

Vous aimez les petites histoires?  J’en ai une à vous raconter; peut-être que celui qui veut comprendre, comprendra!

 Un jour, le plus grand des cuisiniers mit en conserve sa meilleure recette de soupe aux légumes, aux nouilles alphabet.   Elle a été conservée dans une jolie boîte de conserve, pour y conserver sa saveur et sa valeur à juste prix.   Elle fut offerte aux évêques de chaque diocèse du Québec.  Voyant cela, la majorité des évêques déposa la boîte précieusement dans leur armoire d’épicerie.

Un jour, commençant à avoir de l’appétit, l’un des évêques décida de prendre la boîte de soupe en examinant d’abord les ingrédients. Hésitant, il finit par commencer à ouvrir la boîte.   Il l’ouvra qu’à moitié, regarda le contenu, sentit la soupe et referma le couvercle, remettant la boîte dans le réfrigérateur.

Le surlendemain, la faim le reprenant, il reprit la boîte.  Il finit par l’ouvrir en entier, l’examina de nouveau se disant qu’elle avait l’air appétissante, que ce serait pour demain peut-être qu’il y goûterait.

Le lendemain, il reprit la boîte de soupe. Dévorant, après un long jeûne au pain et à l’eau, il décida d’en verser un peu dans un chaudron et de la réchauffer.   Il fut surpris de l’odeur qu’il trouvait agréable, mais il décida,  pris de court par un important rendez-vous oublié à respecter, de laisser la soupe dans le chaudron sans avoir pu y goûter.

Revenant de son rendez-vous, trois heures plus tard, dévorant plus que jamais, il reprit son chaudron.  Mais la soupe avait disparu; quelqu’un d’autre l’avait mangée avec appétit et plaisir s’en régalant et louant Dieu pour tant de bienfaits.

La soupe réchauffe n’est-ce-pas?   Elle remplit le coeur de bien-être aussi.   Elle apaise, elle secourt les affamés, leur enivre l’esprit; elle embaume tout notre être.

Mais la soupe, la meilleure des soupes, ce n’est pas la  « LIPTON »  mes amis; c’est celle que Dieu a préparée pour son Église afin d’en remplir nos paroisses, nos diocèses et réchauffer chacun de nous.

 La soupe hélas!    C’est l’itinérant dans la rue qui a su la manger, au bureau de l’évêque, qui lui passait par là en son absence.   Lui, il avait compris sa valeur et en goûtant à sa saveur, il fut sauvé et rassasié. Tout rempli de joie, il loua Dieu de lui avoir porté secours par la femme de ménage de l’évêque.

La soupe, tout est dans la soupe, le secret est dans la soupe.  N’avez-vous pas encore compris que la soupe c’est comme l’entrée du menu?

 Mon peuple a faim d’amour, il se meurt d’être aimé, de se savoir compris et consolé, guidé.

Mon peuple a besoin de soupe; mais la soupe, par grande prudence, on préfère la conserver dans les armoires d’épicerie, admirer son étiquette et dire et prétendre qu’elle est essentielle à l’Église, à l’estomac.

Par très grande, très grande prudence démesurée humainement, on préfère s’en tenir à l’analyse des ingrédients au lieu d’y goûter et d’en vivre, espérant que toutes les boîtes de soupe conserveront leurs goûts et couleurs authentiques.

Mais des boîtes de conserve se conservent-elles toujours sans risque de dépérir?

Sûrement que non, puisque une date de péremption y est apposée!

 Alors que l’intelligence dont vous usez, conserve cet enseignement afin de conserver les boîtes de soupe du bon Dieu, remplies de l’Esprit Saint, ailleurs que dans les armoires d’épicerie.

Ce n’est hélas que ceux qui ont le coeur à manger, sans avoir peur de goûter et savourer l’inconnu, qui pourront se régaler de la meilleure des soupes.   L’évêque, pauvre lui, n’a pas su saisir l’occasion d’en profiter.   La très grande prudence et le manque de temps de prendre le temps de découvrir et de savourer la soupe, lui donnent toujours de l’appétit sans être rassasié.

La soupe fait vivre et réchauffe.   Rien n’apporte rien et donne rien de même.

Quand allez-vous ouvrir, réchauffer et savourer mes boîtes de soupes?

 Quand allez-vous partager ma soupe avec mes enfants d’amour qui dévorent d’appétit, eux qui sont des brebis perdues?

 Quand allez-vous vous réjouir de mes Paroles dans ma soupe alphabet aux légumes avec vos amis?

Quand allez-vous avoir confiance que ma soupe en boîte, c’est la plus délicieuse à savourer au monde?

 MOI, JE FAIS BIEN PLUS QUE LA MEILLEURE « PIZZA » EN VILLE, CROYEZ-MOI!!!

MA SOUPE RÉCHAUFFE, ENSEIGNE ET GUÉRIT.

 La soupe, c’est Moi ton Jésus Eucharistie, en l’Esprit Saint par mes prophètes de votre temps, messagers et messagères.

Par :   Je ne suis qu’une petite boîte de conserve de soupe, aux alphabets Divins, du cuisinier des cieux sur la tablette d’épicerie du marchand du coin et des bureaux des évêques du Québec.

Serais-je qu’une étiquette lue et analysée jusqu’au jour de la date de péremption, ou saura-t-on essayer de me voler par gourmandise?  Que sera mon destin?   Seul Dieu le sait.

Marie-Lucie de Charlevoix au nom du Seigneur Dieu.»

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Mes enfants, Je vous remercie de votre confiance et de bien vouloir écouter mes Paroles, les regarder et de lire. 

  Merci aussi de prier mon chapelet «Maranatha»

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